Depuis, deux puissants romanciers, dont l'un est un profond observateur du coeur humain, l'autre un intrépide ami du peuple, Balzac et Eugène Sue, ayant fait parler des bandits dans leur langue naturelle comme l'avait fait en 1828 l'auteur du Dernier jour d'un condamné, les mêmes réclamations se sont élevées. On a répété:—Que nous veulent les écrivains avec ce révoltant patois? l'argot est odieux! l'argot fait frémir!
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- Victor Hugo (auteur)