§ Le vieux coeur et le jeune coeur en présence Les Misérables

L'octogénaire porta deux ou trois fois ses deux mains à ses tempes avec une expression d'angoisse, recula en chancelant et s'affaissa sur un fauteuil, sans pouls, sans voix, sans larmes, branlant la tête et agitant les lèvres d'un air stupide, n'ayant plus rien dans les yeux et dans le coeur que quelque chose de morne et de profond qui ressemblait à la nuit.

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